5 - Plan National en faveur des insectes pollinisateurs
Ce plan
d’actions d’une durée de 5 ans (2021-2026) s'organise autour de six
axes.
- intégration des actions favorables aux insectes pollinisateurs dans les pratiques de l'agriculture, la forêt, l'industrie, l'aménagement urbain, les infrastructures de transport ainsi que dans les espaces naturels protégés.
- préservation du bon état de santé des abeilles.
- soutien à la filière apicole en développant la production et la valorisation des miels.
- révision des règles d'utilisation des produits phytopharmaceutiques en période de floraison visant à appliquer ces produits en dehors de la présence des abeilles.
- objectivation du déclin des insectes pollinisateurs sauvages avec la publication de listes rouges d'espèces particulièrement menacées.
- acquisition de nouvelles connaissances sur les facteurs de stress qui s'exercent sur les insectes pollinisateurs afin de cibler les mesures efficaces pour leur protection.
4 - Enquête FranceAgriMer/AGREX Consulting
Etude de la production 2018 de miel et gelée royale en PACA
Chaque année le
cabinet AGREX Consulting, mandaté par FranceAgriMer, réalise un sondage par
questionnaire auprès des professionnels et amateurs (prioritairement les
apiculteurs détenant plus de 150 ruches), les associations et les écoles, sur
leur production de miel et de gelée royale.
L'ensemble des
résultats nationaux peut être consulté sur le site de FranceAgriMer : https://www.franceagrimer.fr/Actualite/Filieres/Apiculture/2019/Production-francaise-de-miel-et-de-gelee-royale-en-2018
Les données obtenues au plan
national se déclinent également par
région.
Vous trouverez
ci-après les résultats obtenus pour notre région PACA.
Représentativité :
Le nombre de répondants en PACA est de 7.1% (186) par rapport aux déclarants
DGAL (3678). Au plan national Il est de 3.9% pour ceux ayant moins de 50 ruches
(2087/52508) et de12 % pour ceux de plus de 50 ruches (520/4265).
Caractéristique
de la filière en 2018:
Nombre d'apiculteurs et nombre de ruches en hivernage et
en production, production de miel en fonction de la taille de l'exploitation
(la région a produit 3145 T en 2018)
Rendements en 2018 :
kg de miel par ruche en production selon taille de l'exploitation et
rendement par miellée.
Au plan national la production a été de16 099 tonnes en 2016 et de 19 788 tonnes en 2017. Elle est estimée à 27 736 tonnes en 2018 (+ 40 % par rapport à 2017).
Bien
que les rendements en lavande, monofloraux et montagne soient plus faibles en
2018 qu'en 2017, on relève en PACA une production de 3145 T en 2018 ( 2141 T en
2017) soit +46 %.
Évolution de la
production en 2018
par rapport a une année moyenne et en fonction de la taille de
l'exploitation
POUR MEMOIRE 2017:
Observatoire de la production 2017 de
miel et gelée royale en PACA
Caractéristique de la filière 2017
Rendements 2017
Evolution de la production 2017
3 - Compte-rendu de l'assemblée générale du 8 février 2020 Brignoles
L’assemblée générale est ouverte à 9H25 par le
président en présence de 25 adhérents (+ 12 pouvoirs). Elle fait suite à
l’Assemblée Générale Extraordinaire dont l’unique objet était la modification
des statuts.
Rapport moral présenté par A. Sisteron
Le rapport moral c’est l’occasion de faire le bilan
de cette année passée sur les deux sujets que sont l’UAV et la saison apicole
2019.
1 - L’UAV c’est 60 adhérents en 2019. Un nombre
toujours en baisse depuis quelques années comme beaucoup d’associations. Selon vos déclarations, 30% d'adhérents ont
moins de 11 ruches, ce sont des apiculteurs de loisirs ; 30% ont entre 11
et 49 ruches ce sont des pluri-actifs et des loisirs bien souvent retraités. Il
reste 40%, c'est à dire moins de la moitié de nos adhérents qui sont des professionnels (au
sens administratif).
Dans la grande majorité vous êtes des apiculteurs
confirmés ou au minimum expérimentés, il y a peu de jeunes en installation.
Alors quelles sont vos attentes de l’UAV.
Probablement différentes de celles d’il y a quelques années en arrière.
Que peut faire l’UAV pour vous ? On pourra en
discuter lors des questions diverses.
2 - La saison apicole 2019 : Année noire.
Je rappelle simplement les chiffres de production
par ruches retenus par la F.A.S.E. (Fédération des Apiculteurs du Sud Est) :
pour le Var 5 kg en toutes fleurs et 6 kg en lavande. Ce n’est pas brillant et
même si l’année 2018 a été plutôt bonne, la moyenne de production sur les 4 ou
5 années précédentes est décevante, le compte n’y est pas.
Quelles en
sont les raisons ?
Il y a toujours le varroa et il y a de plus en plus
de frelons asiatiques même s’ils sont arrivés plus tard cette année. Il y a
encore des pesticides. Heureusement le Var qui n’a pas de cultures intensives
est épargné. Il n’y a pas encore le petit coléoptère de la ruche (à ma
connaissance) dans le Var.
Les apiculteurs sont compétents, alors c’est la
faute à qui ? Il faut se tourner vers le climat qui devient un acteur de plus en plus important avec des changements brutaux et des valeurs extrêmes de température et de
pluviométrie telles que nous les avons connues cette année.
La végétation est perturbée et nos abeilles
démarrent fort en février puis ne trouvent plus de pollen au printemps à cause
du retour du froid ou des pluies, ni de nectar en été à cause de la sécheresse.
Chacun essaye de s’adapter en modifiant sa façon de
travailler. Par exemple :
- Modifier
les dates de transhumance en fonction des floraisons précoces ou qui se
prolongent et quelques fois se recouvrent avec d’autres fleurs. Ce qui oblige
parfois à faire des choix.
- Protéger
nos ruches de la chaleur extrême par le choix d’emplacements plus ombragés,
l’isolation des toits, une ventilation plus importante ou même changement de la
couleur des ruches pour éviter que la cire fonde dans les hausses comme c’est
arrivé dans l’Hérault cet été,
- Placer
nos ruchers dans des zones arrosées artificiellement ou sujettes naturellement
aux averses localisées d’été, pour espérer une miellée, tout en évitant les
zones inondables, le Var a été bien servi cette année ainsi que les feux de
forêt moins dramatiques heureusement en 2019,
- Et
peut-être, repenser nos traitements anti-varroas car la reine continue de
pondre en fin d’automne et plus de couvain c’est plus de varroas pour cet hiver
et surtout une colonie affaiblie pour la reprise de printemps. Il en sera
question dans la conférence de l'ADA cette après-midi.
Cette liste n’est pas exhaustive, chacun a surement
ses idées mais nous devons réfléchir à ces changements car ce type de climat va
perdurer et s’amplifier.
C’est d’ailleurs un sujet d’études que propose
INTERAPI dans son plan de filière. Espérons qu’ils nous apporteront des
réponses constructives et efficientes.
Je vous propose d’en débattre toute à l’heure dans
les questions diverses.
Rapport d’activités présenté par G. Cecconi
Avec un bureau totalement recomposé cette année les
activités suivantes ont pu être réalisées :
- Gestion
des 59 adhérents (assurances, abonnements, cotisations),
- 2 conseils d’administration,
- Achat et distribution de cire gaufrée aux
adhérents,
- Achat et distribution de pièges à frelons
asiatiques JABEPRODE à ceux qui les ont commandés,
- Présence à l’A.G. de la F.A.S.E. à Riez (avec
diffusion du C.R.),
- Reportage sur FR3 Région Sud (sur la lutte contre
les frelons asiatiques),
- 2 articles de presse (Var-matin, En pays Varois
sur la situation des apiculteurs varois),
- Mise en ligne d’un blog d’informations apicoles (uav83.blogspot.com),
- Modifications des statuts en Assemblée Générale
Extraordinaire le 8 février 2020,
- Pas de présence à la foire de Brignoles (Manque de participants et intérêt faible du public sauf pour les
écoles) ni aux fêtes du miel.
Rapport financier présenté par D. Louis
Les points principaux sont résumés ci-après :
Recettes : 3392€ (dont abonnements aux revues
et assurances 2736 €, vente pièges à frelons 480€).
Dépenses de fonctionnement : 5454€ dont
1600€ de reliquat 2018 et 2777€ pour les abonnements et assurances.
Dépenses en matériels : 7093 € dont 480€
pour les pièges à frelons, 5850 € pour la cire gaufrée et 763€ pour un PC et
ses logiciels.
Le solde 2019 s’établit à + 4204 € auxquels s’ajoutent +7265 € sur livret.
Le budget prévisionnel pour 2020 est de 4200€
basé sur 60 adhérents à 20 € de cotisation et 3000€ d’abonnements et
assurances.
A noter l’absence de subventions permettant
une totale indépendance de l’UAV.
Discussions et votes :
Les 3 rapports sont adoptés à l’unanimité des
présents et représentés.
Elections au Conseil d’Administration
Sont sortant : DEPETRIS Georges (ne se représente
pas), LOUIS Daniel (se représente),
Se présente : Mme BEGUIN Laurence,
Se présente : Mme BEGUIN Laurence,
Sont élus ou réélus : Mme BEGUIN
Laurence, M. LOUIS Daniel.
Questions diverses
1 - Point de situation sur l’achat groupé de
balances connectées ?
L’achat pourra se faire dès que nous aurons 10
commandes fermes de balances.
Rappel : sur le site uav83 il existe une
page « petite annonces » pour vous permettre de faire des échanges,
des ventes, des dons, de matériels apicoles à l’exclusion de ventes de miel ou
autres produits de la ruche.
2 - Possibilité pour l’UAV de faire des
séances d’informations sur le métier d’apiculteur et le monde des abeilles auprès
des élèves des écoles, ce qui permettrait de demander des subventions ?
Cela suppose d’avoir des personnes volontaires
disponibles et compétentes vis-à-vis des enfants. Il faut mettre en place un
programme pédagogique adapté et disposer de matériels de démonstration. Enfin
la sécurité du public est à prendre en compte.
3 – Vols de ruches ?
Je n’ai pas eu connaissance de vols de ruches
cette année dans le Var. Je ne sais pas s’il y en a eu car cela semble rester
confidentiel. Il serait intéressant de les signaler a l'UAV sous forme anonyme
de façon a mettre en garde les apiculteurs qui ont des ruchers dans la zone
concernée.
4 - Possibilités d’obtenir une réduction pour
les adhérents sur les achats de matériels apicoles ?
(Hors réunion) un adhérent nous informe que cela
se fait pour d’autres structures. L’UAV va rencontrer les commerçants concernés
et vous informera. Il sera sans doute nécessaire de délivrer à chacun une carte
nominative de membre adhérent.
2 - Arrêtons de mettre des ruches partout
Résumé de l'article de Caroline TOURBE paru dans "LE POINT" n° 2463 du 7/11/2019.Tout le monde veut ses abeilles, de nombreuses villes ont financé des programmes d'installations massives et des sociétés privées proposent aux entreprises de leur livrer un rucher clés en mains. Ainsi 300 colonies se partageaient le ciel de Paris en 2011, elles seraient plus de 2700 aujourd'hui.
Mais ce qui apparaissait comme une excellente idée au départ serait en train de virer au cauchemar pour la biodiversité des abeilles : "Installer quelques ruches en ville c'est bien, mais mettre des colonies partout, c'est une catastrophe!" selon Bernard VAISSIERE chercheur au Laboratoire Pollinisation et Ecologie des abeilles à l'INRA d'Avignon.
Le monde des abeilles ne se résume pas a l'abeille domestique. Notre pays ne compte pas moins de 1000 espèces différentes. Ces abeilles sauvages, majoritairement solitaires, nichent dans le sol et ne butinent souvent qu'un seul type de fleurs. Leurs consœurs domestiques en colonies de plusieurs dizaines de milliers d'individus butinent de très nombreuses variétés de fleurs et récoltent des dizaines de kilos de pollen par an.
Une étude menée par Isabelle DAJOZ chercheuse en écologie à Paris-7 Diderot montre que dans un rayon de 500 mètres plus les fleurs sont visitées par les abeilles domestiques, moins elles le sont par les abeilles sauvages et autres insectes pollinisateurs: "les abeilles domestiques consomment tout le nectar ou presque! il ne reste plus rien pour les sauvages". Continuer à relayer le message que les ruches sauvent la vie des abeilles, c'est comme faire croire que l'on peut "sauver les mammifères en mettant des vaches et des cochons partout dans la nature".
Selon Thierry DUROSELLE, président de la Société Centrale d'Apiculture : "Il faudrait évaluer le potentiel floristique d'une ville par quartier et ensuite seulement décider du nombre de ruches à installer". Pour Isabelle DAJOZ, à Paris il ne faudrait pas dépasser 1 colonie au kilomètre carré en moyenne, bien loin des 27 actuellement. Un étude en Espagne montre qu'il existe déjà des interférences négatives entre abeilles domestiques et autres pollinisateurs sauvages dès 3 ruches par kilomètre carré selon Benoit GESLIN de l'Institut Méditerranéen de Biodiversité et d'Ecologie Marine et Continentale (Marseille).
Certaines municipalités ont déjà adopté des mesures drastiques et interdit les nouvelles installations: "Il faut à tout prix faire passer le message aux entreprises et à nos concitoyens, car rien ne les empêchent, eux, de continuer à installer des ruches partout en croyant bien faire" note Marylin MOLINET chargée du dossier à Metz.
1 - Compte-rendu assemblée générale de la Fédération des Apiculteurs du Sud-Est (FASE)
Le mardi 27 août
2019, la Fédération des Apiculteurs du
Sud-Est a tenue son assemblée générale à Riez dans la salle des associations de
la commune.
Son Président Mr
Jean-Marie Béguin ouvre l’assemblée à 9 h 45 par un mot de remerciement aux
apiculteurs pour leurs participations et déplacements.
Dans ces quelques
paroles de bienvenue est évoqué le caractère particulièrement délicat de
l’activité apicole sur l’année qui vient de s’écouler.
Parole est ensuite
donnée au trésorier pour présenter l’état financier des comptes (courant et
épargne).
-
Le compte
courant avec ses différents mouvements et sa disponibilité (6 310 €).
Il est relevé sur ces instants la difficulté
rencontrée pour recouvrer la cotisation annuelle.
Il
est à remarquer que 3 structures avaient prévu de s’acquitter de cette cotisation
pour l’occasion, elles en sont remerciées.
-
Le compte
épargne possède actuellement des avoirs non disponibles.
Ce compte épargne
n’ayant pas été sollicité depuis plusieurs années, il a été conformément à la
récente loi jugé inactif et dirigé par son agence bancaire vers la caisse des dépôts
et consignation.
A la connaissance de
cette situation les responsables de la Fédération (Président – Trésorier) ont
engagé une procédure de restitution auprès de la Caisse des dépôts, le
traitement du nombre important de dossiers occasionne actuellement un délai
supérieur à (12 mois).
Apparaissent ensuite
les échanges apicoles relevant du parcours de l’année :
a)
Il est
regretté le manque de communication entre les GDS départementaux de la région pour une lutte coordonnée face au Varroa
notamment l’utilisation de matière active intermédiaire afin de
« retarder » les phénomènes d’accoutumance.
b)
Il est
également fait remarque de façon appuyé sur la situation d’apport de matériel
vivant (reines, essaims) en provenance d’Italie (certes contrôlé mais… ?)
faisant courir le risque d’infestation (Athiena Thumida) à nos exploitations,
il est rappelé que actuellement seul est prévu face à ce fléau l’application
du dit principe de précaution (la destruction du rucher incriminé).
c)
Pour ce
qui est de l’état des colonies actuellement il est relevé de façon générale une
pénibilité à l’intérieur des ruches (population faible, une approche très
irrégulières des réserves et une timide relance de ponte certainement la météo pas très favorable à la reprise de
ponte).
Le frelon asiatique
marque sa présence sur tout le territoire.
Et ensuite les échanges ont porté sur l’état des récoltes par département :
Département
|
(04)
|
(05)
|
(06)
|
(13)
|
(83)
|
(84)
|
Récolte Toutes fleurs.
Récolte en lavandes
|
1 à 2 kg
6
|
10
10
|
10
|
10
|
5
6
|
Non
représenté
|
Il est relevé au
cours de cet exposé de production le besoin d’un accord commun entre
départements afin d’harmoniser l’approche des données (rucher sédentaire, rucher transhumant,
ruches retenues pour le calcul, etc…).
Les prix observés sur
le marché restent sensiblement identiques à ceux évoqués lors de la saison
précédente, est fait remarque d’un marché timide particulièrement sur le vrac.
La démarche de
pratique bio engage une plus-value sur le prix de détail mais le repère bio engage le client à des
questionnements sur les modes de production.
Prix au kilo
|
En gros
|
Au détail
|
Lavandes
|
8,5 – 9,5
|
15 à 20
|
Montagne
|
Pas de marché
|
14 à 18
|
Fleurs
|
6,5 à 7,5
|
14 à 18
|
Il est fait remarque en
cette période estivale de contrôles appuyés sur les marchés par le service des
fraudes avec principalement rappel à la réglementation (étiquetage, exposition
réglementaire pour les produits délicats etc…).
Concernant
l’appellation « montagne » il est posé la question sur son mode
d’attribution
L’utilisation de l’appellation
« montagne » relève des
documents interne de l’exploitation,
en cohérence avec les
déclarations annuelles d’emplacement de ruchers, registre d’élevage, cahier
miellerie, pour la traçabilité du produit.
Election du
bureau :
En fin de séance un appel à
candidature est fait, aucun nouvel engagement n’apparait, il est proposé après
accord et unanimité des présents de reconduire le bureau en l’état.
Mr BEGUIN Jean-Marie,
Président,
Mr GALDINO
Jean-Louis, Vice-Président,
Mr MOREAU François,
Secrétaire,
Mr GUENNEC Patrick,
Trésorier.
Fin d’Assemblée
Générale à 12 h 00, un repas convivial en commun regroupant une vingtaine
d’apiculteurs, entretenu de discussion informelle mais toujours intéressante.
Jean-Marie BEGUIN
*Nota : il a été
remarqué l’absence de Mr François MOREAU secrétaire de la Fédération,
Après connaissance de
la situation il s’avère que Mr François MOREAU n’est nullement responsable de
cette absence. La responsabilité de ce manquement en revient au président Mr
Jean-Marie BEGUIN qui lors de l’envoie des convocations le 28 juillet 2019 n’a
pas porté l’attention nécessaire à la rédaction des adresses mail et s’en est
donc suivi ce regrettable manquement pour le jour de l’AG.
Avec
mes sincères regrets pour ce dysfonctionnement
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