Information reçue de l'ADAPI :
Un principe légal et juridique vient
d’être
durement
rappelé aux
ADA et à
l’ITSAP par la
DGAL et
l’ANMV (Agence
Nationale du
Médicament
Vétérinaire) qui concerne:
- L’interdiction d’usage de produits ou
de médicaments
de lutte
contre Varroa
hors AMM (autorisation
de mise sur le
marché) pour
les
apiculteurs,
mais en amont
l’interdiction
faite aussi
aux
vétérinaires
d’appliquer le
principe de la
cascade et de
vendre des
préparations
extemporanées
hors AMM
- L’interdiction
de mener des
essais sur des
ruchers de
production de
produits ou de
médicaments de
lutte contre
Varroa hors
AMM
- L’interdiction
de la
diffusion à
des
apiculteurs
des résultats
issus des
expérimentations
sur des
produits non
AMM
Conséquences
pour les
apiculteurs :
Ce rappel à
l’ordre est
donc en
premier lieu
en direction
des
apiculteurs
eux-mêmes et
des contrôles
vont
certainement
être
diligentés
dans les
exploitations
apicoles.
« Tout
usage d'un
produit sans
AMM pour
traiter contre
la varroose
relève donc du
traitement
illégal
(utilisation
de médicament
vétérinaire
non autorisé)
et expose
l'apiculteur à
de très
lourdes
sanctions, y
compris sur
son cheptel et
les produits
de ses ruches.
En effet,
selon le
règlement
2019-2090
applicable
depuis
décembre 2019,
en cas de
traitement
illégal par un
apiculteur,
la mise à mort
des animaux
ayant reçu le
produit et la
destruction
des produits
de la ruche
doit être
ordonnée.
»
l’ADAPI a donc
choisi de vous
informer de ce
durcissement
de ton de la
part des
autorités et
des
conséquences
encourues par
un apiculteur
en cas de
traitement
illégal.
A cette occasion vous trouverez en page "Techniques"ou en cliquant ICI un résumé de l'étude de l'ADAPI sur l’efficacité et les méthodes d'emploi de l'Apivar.